Paris II
Nous avons passé la matinée avec la merveille, j'en ai profité pour beaucoup la voir, l'avoir sur les genoux...
Ce qui soulage bien la maman, encore toute rhinopharyngée...
Suzanne essaye de gagner à je ne sais plus quel jeu
Julie, reste attentive à refuser la photo
bien que plongée dans son livre
Moi, fascinée par les mains de bébé
Et Louise, à l'aise sur mes genoux
Je vous avais promis quelques photos de plus de la merveille
Suzanne vient passer un moment avec nous
Ou ne travaille pas
Et j'ai réussi à prendre Julie par surprise, mais pas heureuse.
Vous avez vu ce regard?
Dans l'après-midi, nous sommes sorties.
Nous sommes allées voir ça
Exposition de photos donc, que nous n'allions pas photographier, quand même, voyons...
Mais je n'ai pas résisté à photographier les lieux magnifiques de cette fondation. Un élégant atelier d'artistes du quartier de Montparnasse construit en 1912.
L'escalier éclairé par la verrière
Julie en contre jour à l'étage supérieur
Julie est emballée par les photos. Nous passons un très long moment à les détailler, en analyser la composition. Elle tombe amoureuse des quelques photos de Cartier-Bresson. Comme c'est depuis de très longues année mon photographe préféré, j'en suis toute heureuse et lui offre pour sa chambre une affiche.
Nous sortons vers 18 heures.
Suzanne n'a pas très envie de se refaire une expo,
nous irons donc nous balader.
Métro ...
Pour atterrir à Maubert Mutualité.
Nous rejoignons les quais de la Seine,
la traversons pour retrouver cela.
Lumière du soir corrigée par la sensibilité de l'appareil.
Je sais quel résultat je vais obtenir avec cet appareil, j'aime bien, je m'en sers donc .
On se croirait presque dans un tableau impressionniste
Il fait nuit mais il ne fait pas froid. Un petit air quasiment printanier nous caresse les joues. Nous poursuivons jusque là
Nous traversons encore une fois.
Sur la place, une autre patinoire mais fermée au public,
il sonne 19 heures.
Une dernière photo et nous prenons le chemin de retour
Nous poussons jusqu'à la place du Chatelet.
Une affiche m'amuse bien.
Le métro. Nous traversons la station dans toute sa longueur.
Des kilomètres de couloirs
Julie trouve toujours à s'occuper
J'imagine que c'est une grande première pour Suzanne qui ne doit pas connaître les tapis roulants. Raté !! Blasée !! Il y en a, à Sourie Land (Je mets pas le nom, pas envie que Gogole fasse visiter mon blog à n'importe qui, quand même...)
Elle est fatiguée surtout, et malgré le monde, trouve une place assise et attend que ça se passe...
De nouveau des tapis à Montparnasse.
De la place assise pour nous trois sur le dernier tronçons
et retour au bercail avec des paillettes pleins les yeux...